La mandoline Benriner, elle a tout d’une grande

Mandoline Benriner | les meilleurs outils pour cuisiner

Mon premier coup de cœur pour un objet utile et pas futile est réservé à la mandoline BENRINER qui nous vient du Japon. Alors oui, je raffole de tous les gadgets du pays du soleil levant, où j’ai longtemps travaillé, et je ne manquerai pas, à l’avenir, de partager avec vous mes trouvailles nippones. Mais cet ustensile n’a plus rien d’exotique et se trouve très facilement en France dans les commerces spécialisés ou en ligne.

Une super mandoline née au pays du soleil levant

Inventée en 1940 pour râper et émincer le radis, ingrédient de base de la cuisine japonaise, la mandoline Benriner a rapidement été adoptée par les chefs japonais, puis est entrée dans les cuisines familiales. Elle tient son nom de l’adjectif « benri na«  > « bien pratique« , devenu la marque déposée Benriner ™.

Initialement réalisée en bois la mandoline BENRINER est désormais fabriquée en plastique rigide ivoire ou dans des tons pastel.  Deux largeurs de lames : 6,5 cm ou 9,5 cm. Ultra maniable : Lames interchangeables, plusieurs types de coupes et d’épaisseurs (tranches lisses, bâtonnets ou cheveux d’anges) et guide poussoir pour la sécurité de nos petits doigts !

 

La mandoline Benriner : l’accessoire à la portée de tous

Alors pourquoi cet objet m’éclate ? Parce que c’est aussi bien la mandoline du néophyte que celle du chef triplement étoilé. C’est aussi un  objet poids plume qui offre le meilleur rapport qualité prix du marché (comptez environ 25 à 30 euros pour la plus petite et 65 à 75 euros la grande). La Benriner est prisée par tous les chefs, cuisiniers comme pâtissiers. Que vous soyez obligé de cuisiner dans une micro cuisine de chambre de bonne (où elle remplacera aisément un robot à tout faire), ou dans la dernière cuisine high-tech, c’est presque un devoir que d’en posséder une !

Moi, j’ai opté pour un petit format vert pastel très « kawai » (mignon en japonais) et je m’en sers tout le temps (l’état de mon carton en atteste…). Et si on me demandait quel serait le seul outil de cuisine que j’emmènerais sur une île déserte, je crois, sans hésiter, que je répondrais… ma Benriner ! Il y aurait le ciel, le soleil et la mer au son de la mandoline !

Et vous, vous emmèneriez quoi ?

 

 

 

 

 

 

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